Un troisième mandat pour Sandrine, secrétaire générale de la FAÉCUM

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23 août 2020

Après un mandat en tant que coordonnatrice aux affaires associative et un autre au secrétariat général, Sandrine revient servir la communauté étudiante pour une deuxième année consécutive à titre de secrétaire générale.  

Il faut dire que l’implication étudiante, c’est une passion de longue date pour Sandrine! Déjà au secondaire, elle était vivement impliquée dans les conseils d’élèves, à organiser des activités ou à défendre les droits des élèves.  

Par la suite, elle a continué son implication, d’abord au CÉGEP, au sein de l’Association générale étudiante du Collège André-Grasset (AGECAG), où elle a été tour à tour conseillère aux communications puis présidente. À l’université, elle s’est impliquée à la coordination aux affaires externes, puis à la vice-présidence de l’Association étudiante de psychologie et sociologie de l’Université de Montréal (AEPSUM) avant d’entrer à la FAÉCUM.  

Qu’est-ce que la FAÉCUM, pour Sandrine? C’est d’abord un véhicule politique fort qui a su, avec le temps, tailler sa place tant au sein de l’institution qu’à l’extérieur des murs de l’Université de Montréal. Forte du travail et du regard critique de ses 86 associations membres, la FAÉCUM a su devenir une actrice de changement importante dans le milieu de l’enseignement supérieur et Sandrine est ici pour s’assurer qu’elle le demeure! 

En tant que secrétaire générale, Sandrine est responsable de la coordination des différentes activités de la Fédération, elle en est également la porte-parole officielle.  


Sur une notre plus légère... 

Qu’est-ce qui te passionne ? Quel est ton passe-temps favori ?  

Je suis une grande fan des arts de la scène. Au fil des années, j’ai fait de la chorale, du chant, du piano, de la danse, du théâtre, de l’improvisation, du théâtre musical... En plus de travailler auprès des jeunes comme professeure de ces différentes disciplines, comme metteure en scène, comme chorégraphe, comme technicienne de scène, à la confection des décors et des accessoires, et à la traduction des chansons...  

Disons que de manière un peu plus accessible en ces temps de confinement, ma technique pour décrocher est de lire ou d’écouter une pièce de théâtre ou de théâtre musical (ou simplement sa trame sonore !), ou de m’installer derrière mon piano. 

 

Combien de langues parles-tu ?  

Deux et demi ? Disons qu'il fut un temps où j’arrivais à me débrouiller en Espagnol. 

 

Es-tu plus productive/productif le matin ou le soir ?  

Le soir, idéalement dans un beau petit café comme le Caravane Café. 

 

Quel serait ton super pouvoir si tu pouvais choisir ? Pourquoi ?  

Si je possédais un retourneur de temps, je pourrais assister à plusieurs cours en même temps (je suis très curieuse de nature, et j’adore apprendre et être sur les bancs d’école - malgré ma réponse à la question 1 !), tout en m’assurant d’avoir toujours suffisamment de temps pour effectuer toutes les tâches sur ma to do. 

 

Tu as enfin terminé ce projet sur lequel tu travaillais depuis longtemps. Que fais-tu pour te récompenser ?  

La même chose qu’à la réponse à la question 1 ! 

 

Quel est le repas que tu cuisines le mieux ?  

« Cuisiner » est un grand mot, mais je crois que ma capacité à construire un repas pas-pire-pantoute à partir de ramens en sachet mérite d’être soulignée. 

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