Bourses d'implication

Les Bourses d’implication étudiante de la FAÉCUM visent à reconnaitre et à récompenser les étudiantes et les étudiants qui se sont impliqués bénévolement, activement et de façon soutenue dans des activités universitaires et qui ont contribué à l’amélioration de la qualité de la vie étudiante.  

Rencontrez les boursiers et les boursières 2016-2017 !

Bourses de 1 000 $

Bourses de 500 $

  • Mathieu Boudier-Revéret
  • Maïlys Laylle
  • Francis Desnoyers
  • Louis Gabriel Pouliot
  • Léore Pujol-Piffat
  • Marc-Simon Duquette
  • Hajirah Ismail-Zada
  • Solène Doutrelant
  • Mathilde Messersi
  • Chloé Le Guillou Gagnon
  • Philippe Biuzzi
  • Fannie Carrier Emond
  • Fouzia Bazid
  • Gabrielle Pannetier Leboeuf
  • Guillaume Fontaine
  • Marie Leblond
  • Fares Massaad
  • Dorothée Nicholls
  • Philippe Depairon
  • Eric Mereniuk

-----------------------

Bourses de 1 000 $

Laurie Hudon-Germain
Étudiante au doctorat de premier cycle en pharmacie

Pour son implication auprès de son association étudiante et la mise sur pied de différents projets de tutorat et de parrainage par les pairs. 

Pourquoi est-ce important pour toi de t’impliquer?

L’implication étudiante est pour moi un réel carburant qui me permet de garder le cap sur mes études, et qui peut faire une différence pour les étudiants et étudiantes si eux-mêmes ne tentent pas de le faire. Chaque chose accomplie est réellement gratifiante. De plus, la très grande majorité des sphères d’implication sont en grand groupe (comités, associations, etc.) et c’est une situation idéale pour rencontrer des gens, tisser des liens et même de belles amitiés. Faire évoluer la cause étudiante, c’est une bataille de tous les jours et si chacun mettait la main à la pâte, je suis certaine que nous évoluerions dans de meilleures conditions.

Quels sont tes trucs pour concilier ton implication et tes études?

Pour moi, c’est vraiment ce qui me permet de rester assidue dans mes études. En effet, puisque j’investis une grande partie de mon temps en m’impliquant, je n’ai pas d’autre choix que de consacrer le temps restant à mes études. Aussi surprenant que ça puisse paraitre, mes notes sont meilleures durant les sessions où je m’implique le plus! Sinon, tenir un horaire serré est essentiel pour ne rien oublier, ainsi que de savoir collaborer et déléguer !

Qu’est-ce que tu apprends sur toi-même en t’impliquant?

J’ai appris que j’étais de nature une grande leader. En m’impliquant, j’ai aussi appris à déléguer et à partager les tâches, ce qui est essentiel afin de pouvoir s’impliquer dans différents projets, mais aussi afin de maintenir un bon climat dans l’équipe avec laquelle tu t’impliques.

Quels sont les traits de caractère nécessaires pour s’impliquer dans son milieu?

Je pense sincèrement que l’implication étudiante est ouverte à chacun et chacune. Tous les traits de caractère sont les bienvenus, c’est comme ça qu’on arrive à former des équipes diversifiées et fonctionnelles. Par contre, il est certain qu’un minimum d’entregent est nécessaire. Il ne faut pas avoir peur d’afficher et de défendre ses convictions. Je dirais aussi qu’il faut un minimum de générosité, car l’implication est souvent faite pour les autres et rarement pour soi.

***

Dylan Hervé
Étudiant au baccalauréat en études internationales

Pour son implication au sein de la délégation de l’UdeM à la simulation des Nations unies et au sein de son association étudiante.

Qu’est-ce qui te pousse à t’impliquer dans ton milieu ?

J’ai commencé à m’impliquer au cégep. J’y ai rencontré plusieurs personnes qui s’impliquaient et je me suis rendu compte que c’était extrêmement motivant de pouvoir avoir un impact dans son milieu, mais également de travailler sur différents projets en équipe.

Pourquoi est-ce que c’est important pour toi de t’impliquer?

Pour aider les autres, tout simplement. C’est important d’avoir de l’empathie pour les autres pour mieux comprendre leurs émotions et trouver des solutions. J’ai appris cela de ma mère, qui est ergothérapeute avec les enfants autistes, cette capacité de se mettre à la place des gens. C’est sûr que ça demande parfois des sacrifices mais en même temps, c’est une décision que j’ai prise par moi-même. 

Quels sont tes trucs pour concilier ton implication et tes études?

Comme je ne suis pas la meilleure personne pour gérer mon temps, j’essaie autant que possible d’inclure mes activités d’implication à travers une routine, des blocs que je ne peux pas déplacer. Je peux donc gérer mon horaire en conséquence.

Qu’est-ce que ça t’apporte? Qu’est-ce que tu apprends sur toi-même en t’impliquant?

S’impliquer, ça demande de la patience, surtout quand on essaie de changer des comportements qui sont bien ancrés dans leur milieu. Ça prend également du temps, et il est nécessaire de s’impliquer de manière continue afin de faire sa marque comme il se doit et de faire grandir quelque chose. À force de travailler dans différents milieux, j’ai également développé des habiletés en gestion de crise, mais aussi en recherche de solutions. C’est nécessaire de savoir prendre du recul pour résoudre des problèmes.

Quels sont les traits de caractère nécessaires pour s’impliquer dans son milieu?

Constance, rigueur et maturité. Et savoir faire des compromis !

***

Chloé Beaudet-Centomo
Étudiante au baccalauréat en droit

Pour son implication au sein de son association étudiante, notamment en période de gestion de crise, et son initiative citoyenne La tente juridique.

Pourquoi est-ce que c’est important pour toi de t’impliquer?

Parce que je me dis que je ne vais pas attendre que les autres le fassent à ma place ! C’est extrêmement important de redonner à son association étudiante, et en s’impliquant on peut contribuer à faire changer les mentalités, notamment lorsque vient le temps de parler des initiations ou des partys. C’est pourquoi un réel changement de culture s’opère à l’intérieur de l’association de droit, qui a subi beaucoup de mauvaise presse en 2016 à cause de ses pratiques.

Quels sont tes trucs pour concilier ton implication et tes études?

J’ai toujours travaillé, même en étant aux études. Ça m’a obligée à apprendre à gérer mon temps efficacement. Je fais également montre d’une grande capacité de concentration, donc ça devient facile pour moi quand vient le temps de faire des blitz d’études avant des examens, ou quand je dois organiser plusieurs événements en même temps. L’important, c’est de mettre ses énergies aux bons endroits.

Quelles sont les causes qui te tiennent à cœur?

J’espère qu’avec mon travail, tout le monde à l’intérieur de notre association étudiante se sente le bienvenu ou la bienvenue à nos événements. On ne veut pas que ça soit inaccessible ou réservé à quelques personnes. On est ensemble pour le baccalauréat, on vit déjà une expérience commune, pourquoi ne pas s’en créer d’autres? J’essaie d’être la plus généreuse possible avec mon temps, et de le mettre à la création d’une communauté.

Qu’est-ce que ça t’apporte? Qu’est-ce que tu apprends sur toi-même en t’impliquant?

L’humilité. Mais aussi parfois, quand tu prends du recul, tu te rends compte que tu es capable de faire des choses d’une ampleur que tu n’aurais pas imaginée. J’ai également appris à gérer mon stress, et la pression qui vient avec le fait de jongler plusieurs projets à la fois. En même temps, je suis une fille d’équipe, et en tant qu’ancienne capitaine de mon équipe de soccer, je suis en mesure de motiver les troupes tout en gardant la tête froide.

***

Caroline Laplante
Étudiante à la maitrise en physique

Pour son implication en tant que présidente de son association étudiante, et auprès de différents comités (comité Environnement, comité Diversité Physique, comité départemental militant pour la diversité et l'égalité au sein de l'association des étudiants et étudiantes). 

***

Camille Bourdeau
Étudiante au baccalauréat en psychologique

Pour son implication en tant que co-fondatrice du comité féministe de son association étudiante, et en tant que co-rédactrice en chef du Journal de Neuropsychologie Clinique Appliquée (JNCA).